Actions et presse
Pourquoi construit-on toujours les routes après ?
En 1972, les routes ont été une très grosse problématique. Aujourd'hui avec l'arrivée de toutes ces industries le trafic routier sera beaucoup plus important et pire que dans les années 1970. Ils prévoient des usines sans les aménagements routiers.
Evènements
Retour sur la noria de l’environnement
La Noria de l’environnement s’est merveilleusement passé. Cette journée écologique...
Nos combats
Article LA PROVENCE et Reportage BFM
Voici un article, suivi d’un reportage de BFM, de Carole BARLETTA pour La Provence, qui nous narre un épisode des procès contre les industries de Fos....
Carte perception pollutions FUTUR
Programme de recherche perception des pollutions industrielles. Les membres de l’équipe composée d’Alexis GRUSSI, Mariana RIOS SANDOVAL Anthropologues et Alice DUROT graphiste travaillent notamment dans la zone Fos/Berre sur les perceptions de la toxicité au quotidien ainsi qu’aux mobilisations liées aux rejets industriels. L’équipe œuvre actuellement à poursuivre et diffuser les premiers résultats d’expérimentations de cartographies participatives et sensibles en collaboration avec l’ADPLGF.
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Pourquoi construit-on toujours les routes après ?
En 1972, les routes ont été une très grosse problématique. Aujourd’hui avec l’arrivée de toutes ces industries le trafic routier sera beaucoup plus important et pire que dans les années 1970. Ils prévoient des usines sans les aménagements routiers.
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APRES ESSO, MAINTENANT C’EST NAPHTACHIMIE
Après ESSO, c’est Naphtachimie qui fait parler de son cas. Plus d’un mois de torchage avec un bruit énorme exactement pareil avec ESSO à Fos sur Mer.
Uniquement pour une histoire d’argent, ces usines chimiques pour ne pas perdre d’argent ne veulent pas arrêter leur process. Ils se foutent du voisinage et vraiment de vivre à côté de ces industries chimiques, pose un véritable problème.
Autant pour la pollution, le niveau sonore et la vue pendant la nuit où on y voit comme en plein jour.
Ces industriels ont chaque fois une excuse, une fois c’est un vapocraqueur, une autre fois c’est un compresseur, il y a toujours une excuse mais pour les riverains que nous sommes cela suffit.
